Biorésonance
Les racines de la biorésonance remontent à 1879, lorsque le scientifique russe Nikolai Vvedensky a étudié l’impact de certaines fréquences sur les cellules, les nerfs et les organes. En 1922, le biologiste russe Alexander Gurwitch observe le « rayonnement cellulaire », démontrant que les cellules vivantes peuvent communiquer entre elles via le spectre électromagnétique lumineux.
Dans les années 1930, l’ingénieur Georges Lakhovsky affirme que les cellules émettent et absorbent des radiations électromagnétiques à certaines fréquences, influençant la santé des êtres vivants. Invité en 1925 dans le service du professeur Antonin Gosset à la Salpêtrière, il teste, jusqu’en 1931, son procédé sur des malades considérés comme incurables dont l’état général va s’améliorer, les tumeurs de plusieurs cancéreux inopérables disparaissant presque totalement. Mais Gosset ayant reçu quelques pressions de confrères influents, renonce à présenter les résultats à l’Académie de médecin.
Pendant la période de 1940 à 1945, des scientifiques de Yale, dont le professeur Harold Burr, confirment que tous les organismes vivants ont un champ électromagnétique. En 1975, le biophysicien allemand Fritz-Albert Popp montre que les substances homéopathiques sont efficaces en raison de leurs modèles de vibration. En pleine guerre dans les années 1940, le docteur Reinhard Voll médecin et ingénieur allemand, crée la « machine EAV » détectant les faiblesses des organes par les points d’acupuncture pour les traiter avec des produits homéopathiques. En 1953, il développe un appareil mesurant les points d’acupuncture, un progrès significatif dans le domaine.
Dans les années 1970, Franz Morell, Eric Rasche et Ludger Mersmann créent l’appareil MORA, utilisant le biofeedback pour lutter contre les maladies. En 1976, l’ingénieur allemand Paul Schmidt explore différentes fréquences pour harmoniser le corps. En 1987, Hans Brügemann, collègue de Morell, invente le terme « bio-résonance » avec le BICOM.
La médecine quantique, développée principalement par des chercheurs allemands, considère le corps comme un champ énergétique dont l’auto-guérison s’opère grâce à la transmission d’informations, s’inspirant des principes de la médecine traditionnelle chinoise. La Russie et la Chine jouent un rôle crucial dans la recherche en biorésonance aujourd’hui, avec la Russie en tête. Confrontée à des contraintes financières importantes et un système de santé défaillant, la population s’est tournée vers des approches moins coûteuses et a incité la communauté scientifique à s’y intéresser. En outre, l’influence des traditions médicales chinoises séculaires en Russie a renforcé l’intérêt pour le travail sur les énergies vibratoires. La coopération entre la Russie et la Chine a conduit à des avancées significatives dans le domaine de la biorésonance.
Plus récemment, les media commencent à évoquer la Biorésonance: